La Chambre de la Cour supérieure de Justice du Pays Basque ( TSJPV ) a estimé la ressource de la veuve de MAL - anciens employés du chantier naval espagnol, décédé le 21 mai 2010 en raison d'un mésothéliome pleural.
tout en reconnaissant que l'origine une maladie professionnelle , conduisant à une amélioration de la pension de la veuve et de paver la voie à d'autres demandes de dommages et violations suppléments préventifs .
Comme l'a signalé ASVIAMIE , Association Basque des victimes de l'amiante , MAL effectuées depuis plus de 20 ans de travail peinture, soudage de tuyaux et d'autres activités sur les navires construits dans le chantier naval de La jusqu'en 1990, quand il a démissionné après une déclaration permanent maladie courante des personnes handicapées. Le 19 Février 2010, a été diagnostiqué avec le mésothéliome pleural et mourut trois mois plus tard .
Le tribunal du travail n ° 4 de Bilbao 03/06/13 rejeté la demande de la reconnaissance de la pension de la veuve de maladie professionnelle , sur la base que « pas établi la probabilité d'exposition à l'amiante au travail » basé sur le refus d'une telle exposition , pour le Naval, Asepeyo mutuelle , Fraternité , Mutualia et de la Sécurité sociale du Trésor.
ASVIAMIE regretté la décision de cette décision, «malgré le mésothéliome pleural est une maladie résultant uniquement de l' exposition à l'amiante et inclus dans la liste des maladies professionnelles et l'existence de nombreux milieux, avec des cas similaires soient reconnues et l'utilisation incontestable et l'exposition aux fibres d'amiante pendant les décennies des années 70 et 80 dans les chantiers navals espagnols , sans aucune mesure de protection " .
Comme il a critiqué les "sociétés durs manifestent de la résistance , les employeurs communs de placement , y compris la sécurité sociale , ainsi que des rapports techniques OSALAN hésitante, sont une tentative flagrante de cacher ces institutions amiante catastrophe sanitaire avec un mépris total pour les victimes et leurs familles. "
«D'abord laisser l'échec scandaleux de la législation globale sur l'amiante ( comme l'a noté la Cour suprême) , ainsi que d'autres substances cancérogènes en milieu de travail , sans aucune information sur les risques , soutenue ensuite par le manque de présence de preuves documentées de l'amiante et d'essayer de nier l'origine professionnelle de maladies " , at-il plaint .
L'association des victimes de l'amiante Basque considère ce nouveau jugement TSJPV montre que « uni et organisé les victimes , nous pouvons surmonter l'obstacle qui paralyse veut cacher tant de maladies et de décès injustifié».
Par conséquent , il a encouragé tous les travailleurs retraités et actifs qui ont été en contact avec les fibres cancérigènes, il ya des décennies dans son travail , à appliquer " avant de tomber malade , " l'inclusion dans la surveillance de la santé des plans de désamiantage poste du travail en réponse aux tentatives de «cacher la relation entre respiratoire maladies à prévention violations qu'elles ont subi. "
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